La pub du jour
J’ai un ami qui travaille au Musée des tissus de Lyon. Quand je l’interroge à son sujet, il s’étend sur son état ; et de la façon qu’il l’évoque j’ai parfois l’impression d’entendre un médecin qui s’épancherait sur le cas désespéré de l’un de ses patients. -On lui a redonné un mois à vivre. -Ah, cool. On prolonge une agonie, on sursoit la fin définitive. Si la mort est chose programmée pour chacun de nous, les perspectives d’avenir paraissent résolument…